
Le wallaby de Bennett appartient à la famille des macropodidés dont le nom d’origine grec signifie « grand pied ».
Suite aux dernières annonces du gouvernement, les musées, jardins et zoos du Muséum restent fermés, à l'exception du Jardin des Plantes, de l'Arboretum de Versailles-Chèvreloup et du Jardin botanique Val Rahmeh - Menton.
La réouverture se fera en fonction de l'évolution de la situation sanitaire.
Les houbara d’Asie, Chlamydotis macqueenii, sont en majorité migratrices. Elles se reproduisent au printemps de l’Iran à la Chine et en automne, migrent plus au sud, notamment vers la péninsule arabique où elles passent l’hiver.
Fiche d'identité
Nom vernaculaire | Outarde houbara d’Asie |
Nom scientifique | Chlamydotis macqueenii |
Taxonomie
Classe | Oiseaux |
Ordre | Otidiformes |
Famille | Otidés |
Genre | Chlamydotis |
Espèce | macqueenii |
Informations détaillées
Durée de vie | 29 ans |
Taille et Poids | 60 cm de long ; envergure : 1,40 m ; 2,4 kg maximum |
Incubation | 22 à 24 jours, 2 à 4 œufs |
Habitat naturel | déserts, zones arides |
Régime alimentaire | insectes, lézards, baies, jeunes pousses |
Région d'origine | Moyen-Orient |
Les houbara d’Asie sont en majorité migratrices. Elles se reproduisent au printemps de l’Iran à la Chine et en automne, migrent plus au sud, notamment vers la péninsule arabique où elles passent l’hiver. Omnivore, l’outarde passe l’essentiel de son temps à fourrager. Parfaitement adaptée à la sécheresse, elle boit rarement et trouve l’eau dans sa nourriture.
La parade nuptiale des mâles est des plus extravagantes. Au printemps, plusieurs heures par jour, la tête renversée et cachée derrière une collerette de plumes duveteuses, ils se pavanent en zigzaguant pour séduire les femelles. Des chercheurs du Muséum et de l’ECWP ont montré que les femelles choisissent les mâles qui paradent le plus. C’est ce que Darwin a appelé la sélection sexuelle. Ces mêmes individus possèdent aussi le meilleur système immunitaire, c’est-à-dire qu’ils résistent le mieux aux maladies. Cette découverte conforte une autre théorie, celle des « bons gènes ».
Après l’accouplement la femelle pond dans une simple excavation qu’elle creuse, souvent à l’ombre d’un buisson. Les poussins nidifuges quittent le nid et suivent leur mère quelques heures après l’éclosion. Ils sont capables d’effectuer des petits vols vers un mois mais restent avec leur mère jusqu’à l’âge de 2 ou 3 mois.
Le mâle, plus grand que la femelle, a de longues plumes blanches sur le cou et la poitrine.
Le plumage couleur sable tacheté de noir de la femelle et des oisillons offre un parfait camouflage dans ces milieux désertiques.
A partir des résultats d’études génétiques auxquelles ont participé des taxonomistes du Muséum, les outardes houbara d’Asie (Chlamydotis macqueenii) ont été séparées de celles d’Afrique (Chlamydotis undulata). Elles sont désormais considérées comme deux espèces distinctes.
The International Fund for Houbara Conservation (IFHC), créé en 2006 à Abou Dhabi, gère un réseau de programmes de conservation afin de renforcer les populations d’outardes houbara sur l’ensemble de leur aire de répartition.
Le wallaby de Bennett appartient à la famille des macropodidés dont le nom d’origine grec signifie « grand pied ».
Longtemps chassée pour sa laine particulièrement fine, la vigogne est aujourd’hui protégée.
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